Le 9 septembre, le maire, accompagné de nombreux adjoints, est venu présenter aux habitants des quartiers nord-est de la ville le nouveau PLU.
Le plus avancé est celui du projet Prémartine et a donc occupé une grande partie de la réunion. Pour ce projet, le PLU a déjà été modifié et l'ancien site du Crédit Agricole doit laisser la place à un hôtel de luxe 5 étoiles, une résidence senior et deux immeubles avec l'abattage d'une centaine d'arbres également. Les riverains s'y opposent comme ils l'ont montré en empêchant le matin même l'abattage d'un séquoia plus que centenaire.
Puis vient le cas du parc Saint-Aldric. Le maire justifie le projet en affirmant que le ville du Mans ne peut plus s'étendre sur les terres agricoles comme elle l'a trop fait et donc, qu'il faut "remplir les dents creuses" et densifier la ville.
Pour le parc Saint-Aldric, il affirme toutefois qu'une bande de 25 mètres d'espace boisé sera préservée le long des murs des riverains et que donc, le parc ne sera pas complètement détruit.
Pour le parc Saint-Aldric, il affirme toutefois qu'une bande de 25 mètres d'espace boisé sera préservée le long des murs des riverains et que donc, le parc ne sera pas complètement détruit.
Il affirme également que le PLU indiquera aux deux promoteurs (Galibert pour Prémartine et Bouygues pour Saint-Aldric) de planter plus d'arbres qu'ils en auront abattus.
Le maire, en tant qu' "ex-ministre de la forêt," affirme aussi que la plantation de jeunes arbres est meilleure pour le climat car ils absorbent plus de carbone, nécessaire à leur croissance, que de vieux arbres arrivés à maturité. Affirmation contredite d'ailleurs par des chercheurs américains (c'est ICI).
Le maire, en tant qu' "ex-ministre de la forêt," affirme aussi que la plantation de jeunes arbres est meilleure pour le climat car ils absorbent plus de carbone, nécessaire à leur croissance, que de vieux arbres arrivés à maturité. Affirmation contredite d'ailleurs par des chercheurs américains (c'est ICI).
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